Une amitié BDSM - Partie 2

Partie 2 : Première soirée et première séance entre amis


Après un apéritif passé au service ainsi qu’aux pieds de Mon Maître, durant lequel j’ai eu l’autorisation de boire un verre de vin blanc bien sucré comme je les aime, nous passons à table. Mademoiselle Alysa nous a préparé d’excellentes pizza faites maison, nous nous sommes régalés puis avons fini le dîner avec un petit chocolat et un café.

Puis vint le moment de passer aux choses sérieuses. J’étais détendue et heureuse aux pieds de Mon Maître. Je n’ai pas eu peur et étais assez à l’aise au moment de me dévêtir. J’ai eu rapidement droit à une comparaison de la cravache de Mon Maître et celle de Maître Asgard. Comme je m’en doutais, les 2 objets n’avaient rien à voir et le second piquait bien plus. Mon Maître, Lui aussi, fut convaincu par cet objet avec lequel il ressent bien plus de sensations lors de l’utilisation sur Sa soumise.

Maître Asgard et mademoiselle Alysa ont d’abord entrepris de nous montrer comment ils procédaient en séance. L’esclave prenant les coups de cravache et langue de serpent debout sans trop bouger, la croupe cambrée pour une meilleure vue et un meilleur accès pour le Maître. Maître Asgard montrant bien à Mon Maître comment utiliser les instruments et quelles zones il pouvait frapper.

Puis ce fût à mon tour. J’émis quelques réserves sur la position car j’ai vite tendance à faire de chutes de tension et ne voulais pas perdre connaissance en pleine séance… Mon Maître les pris en compte, me disant que nous changerions de position si cela n’allait pas. Je reçu quelques coups de cravache avant de commencer à me sentir mal. Alysa me montra alors une autre position sur le canapé : face au mur, fesses toujours cambrées mais les genoux en appui sur l’assise du canapé. Jambes bien écartées pour une bonne stabilité et un bon accès. Les coudes et les avant-bras sur le haut du dossier pour un plus de cambrure. Elle me donna aussi d’excellents conseils pour recevoir les coups.

Ces conseils me permirent de supporter les coups de cravaches puis ceux de la langue de serpent sans trop bloquer ma respiration. Ces instruments étaient bien plus piquants et marquaient beaucoup plus que ce dont j’ai l’habitude. Je réussie, je pense, à m’en sortir plutôt bien pour une première séance. Les sensations étaient délicieuses pour N/nous deux. Puis Mon Maître passa à son instrument de prédilection : le martinet. Il alterna entre le sien petit avec de courtes lanières en daim et celui de Maître Asgard, dans un cuir lisse et plus fin. Ce dernier, plus grand avec des lanières plus larges (environ un demi centimètre) et plus longues (près de 50 cm) qui se terminent par un nœud. Celui-ci offrait la même possibilité de morsures et brûlures multiples que le petit martinet mais avec l’avantage pour Mon Maître de pouvoir toucher à la fois le dos et l’avant de mon corps, comme mes seins, en un seul coup. Autre avantage non négligeable, ce martinet marquait beaucoup ma peau. En effet, alors qu’un martinet classique laisse rapidement sur mon corps des traces d’un rouge vif disparaissant rapidement et laissant une peau à vif mais sans aucunes traces pour le montrer, cet autre martinet laissait des petits points bien visibles grâce aux nœuds. Ce que N/nous avons trouvé très chouette. Comme toujours, pour faire durer la séance et savoir où j’en étais, Mon Maître alternait les coups avec des caresses sur les zones qu’il souhaitait viser ou qu’il venait de martyriser mais aussi quelques légères caresses pour vérifier comment mon intimité réagissait à cette séance devant nos amis. Et celle-ci réagissait très bien…

Nous pûmes aussi tester deux modes pour communiquer à Mon Maître mes ressentis vis-à-vis des nouveaux outils de supplice utilisés. La première consistait à demander « slow play » traduit littéralement joue doucement et « hard play », joue fort, demandant ainsi moi-même la force du supplice qui me serait infligée à chaque coup. Cependant, je n’ai pas vraiment apprécié cela. Je n’aime pas décider de la force des coups portés. J’estime que c’est un privilège réservé à Mon Maître et donc j’étais perdue lorsque je devais donner le signal.

La seconde technique conseillée et montrée par nos amis a été de faire évaluer à l’esclave ou la soumise, le coup porté sur une échelle de 1 à 5, permettant ainsi de créer un échelonnement et de voir la sensibilité selon les zones du corps touchées.

Avant d’utiliser cette échelle, je fini en larmes au bout de dix coups de cravache. Les sensations ressenties avec cet instrument étant bien au-delà de ce à quoi j’étais habituée. De plus, Mon Maître dû s’habituer à me laisser plus de temps pour reprendre mon souffle afin que je puisse « encaisser » les coups. Après avoir utilisé l’échelle de douleur je pu prendre bien plus de coups de cravache et autres instruments mais finis tout de même en larmes de douleur et de plaisir. Mais aussi de fierté d’avoir rendu Mon Maître fier de moi en tenant si bien et en apprenant si vite ce que m'enseignait Alysa. J’avais le cœur empli de gratitude envers Mon Maître et nos amis pour cette séance mais aussi de joie. J’étais réellement touchée par les compliments sur ma séance de la part de Maître Asgard et de son esclave qui sont bien plus expérimentés que N/nous.

Mon Maître m’enveloppa dans un plaid et pris le temps de m’aider à sécher mes larmes en m’enveloppant de son amour et félicitant sa soumise pour le travail accompli. Puis nous regardâmes encore un peu Maître Asgard martyriser Alysa avant que celui-ci se charge de l’after care du corps d’Alysa.

Puis nous nous retrouvâmes tous les 4 sur le canapé, chacune blotties contre son Maître et nous profitâmes de ce moment pour échanger quelques baisers avec Alysa. Des baisers un peu maladroits et timides mais cela restait une première excitante pour moi.


Puis Mon Maître et moi avons rejoint notre chambre et avons passé un moment torride tous les deux après avoir passé en revue les marques de cette première séance.

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