Escapade en forêt


La semaine est enfin finie, ce soir, je retrouve Mon Maitre mais je suis stressée, j’ai pris un peu de retard.

Je me prépare pour chercher Mon Maître, Mon Amour …
Je mets l’une de mes robes les plus sexy, une robe Marylin noire, qui est douce sur ma peau … nue … pas de sous-vêtements bien sûr, comme toute soumise qui se respecte. J’ai rehaussé ma silhouette de petites chaussures à talon noires.

Après une heure de route j’arrive à l’aéroport, je regarde mon téléphone, déjà des messages de Mon Maître, il est arrivé en avance. Je m’attends à devoir le chercher dans l’aéroport mais à peine sortie de ma voiture, Mon Maître m’aperçoit, je fonds quand je le regarde aussi et je sais qu’il me déshabille déjà du regard. Nous nous jetons dans les bras l’un de l’autre et nous embrassons passionnément.

Je laisse les clés de la voiture à Mon Maître, comme toujours.

Cela fait 2 semaines que nous ne nous sommes pas vus, j’ai déjà terriblement envie de lui …

Sa main se pose sur ma cuisse et commence à la caresser … Je caresse la sienne d’une de mes mains. Après quelques minutes de route, nous nous arrêtons dans un restaurant de fast food pour que je puisse faire un arrêt aux toilettes, impossible de faire ce qu’il nous reste de route, près d’une heure, sans que je soulage ma vessie. Lorsque je reviens dans la voiture, la tension sexuelle est toujours palpable. Nous repartons, Je remets ma main sur la cuisse de Mon Maître mais cette fois, exactement au même endroit je trouve une bosse (Un acte délibéré comme je l’ai appris plus tard). Je ne la caresse pas trop, par peur de déconcentrer mon conducteur, mais sa main remet la mienne dessus et il me demande de le caresser.

De son côté sa main relève ma jupe … il découvre l’absence de sous-vêtements sous ma robe, sa main découvre l’humidité qui suinte déjà de mon intimité. Ma main le caresse toujours doucement …

En très peu de temps, j’ai enlevé mes chaussures, mes jambes sont grandes écartées, ses doigts parcourent mon intimité et me font gémir alors que lui conduit toujours, serein. J’admire le contrôle dont il fait preuve.

Ma main se fait plus pressante sur son sexe, toujours au travers de son vêtement, je sens son gland lubrifié qui humidifie le tissu de son bermuda. Je décide de prendre une initiative, je réussi à repousser assez la ceinture de sécurité de Mon Maître et m’attaque à la fermeture de son bermuda.

J’ai un mal fou à me concentrer tant ses caresses me font du bien et je veux lui donner autant de plaisir qu’il m’en donne. Après quelques instants de bataille avec les boutons, je fini par ouvrir son bermuda. J’en sors son sexe doux, chaud et dont le gland est déjà humide.

Je le branle doucement puis après les encouragements de Mon Maître, plus vigoureusement. Son regard est toujours sur la route, les doigts de sa main droite fouillent toujours mon intimité … Un bus passe à côté de nous, je pouffe de rire parce que je n’ai absolument aucune honte de la position dans laquelle je suis. Je prends un plaisir fou et j’en donne à l’homme que j’aime, je sais qu’avec lui je peux réaliser tous mes fantasmes.

Je sens encore la tension sexuelle monter, je ne vais pas pouvoir attendre d’arriver chez moi pour sentir enfin Mon Maître prendre possession de moi …

Je lui suggère donc de sortir à la sortie qui arrive pour prendre la départementale. Il comprend très bien ce que je veux dire par là, il me dit en souriant que c’est une bonne idée puisque ça ne prend pas plus de temps que l’autoroute.

Je l’aide à passer les vitesses pour qu’il garde sa main où elle est pendant que nous récupérons la route que nous voulons suivre. Nous passons à côté d’une aire de repos, je lui dis que nous pourrions faire un arrêt … mais il y a du monde. Nous continuons notre route, nous continuons à nous faire du bien, je suis de plus en plus fébrile, j’ai tellement envie de lui, de le sentir en moi, mais aussi de le sucer … Mais je n’ose pas.

Alors je me fais plus pressante, je lui dis clairement que nous pouvons nous arrêter entre deux villages, à l’abri des arbres. Son sourire me montre que mes suggestions lui plaisent, mais il me faire remarquer que je dois arrêter de lire dans ses pensées, comme toujours.

Nous bifurquons sur une route bordée d’arbres qui indique des villages à quelques kilomètres, nous ne tardons pas à trouver un petit chemin, non éclairé, au milieu de la forêt.

Rapidement, je défais ma ceinture de sécurité, Mon Maître se détache aussi, je me mets à genou, face à lui sur mon siège. Il me dit qu’il veut garder de la lumière, j’allume le plafonnier pour qu’il puisse profiter de chaque instant.

Il me caresse doucement les seins en passant les mains sous le haut de ma robe, et me dit de libérer ma poitrine. Puis il prend mes cheveux et attire mon visage à son sexe. Je sais ce qu’il veut et j’en ai terriblement envie aussi. Je ne me fais donc pas prier pour prendre son sexe dans ma bouche et le sucer à pleine bouche. Il me tient par les cheveux pour guider le rythme et s’enfonce régulièrement jusqu’à ma gorge … Je ne suis plus juste son amour, son âme sœur, je suis sa soumise, sa chienne, sa pute … Il me le dit et j’en suis folle de joie et de plaisir.

Il finit par me relever la tête en la tenant par les cheveux et m’embrasse passionnément. Hors d’haleine nous nous séparons, je lui dis ce que j’ai sur le cœur depuis le début de la soirée : « j’ai envie de toi mais pas qu’avec tes doigts … »

Il me demande comment je vois les choses, je lui dis que je le vois bien sortir de la voiture et me prendre … Il aime ma proposition, je le vois dans ses yeux. Je le regarde sortir de la voiture, je me retourne sur le siège pour lui tourner le dos, à quatre pattes sur le siège conducteur. Enfin Mon Maître me pénètre, je suis vite terrassée face contre le siège par le plaisir qu’il me donne. La forêt autour de nous résonne de mes cris de plaisir et des gémissements de Mon Maître. Il me prend comme une pute, comme sa pute, là dans cette forêt et il me le dit. J’acquiesce, je suis son amour, sa soumise, sa salope, sa chienne, sa pute, son objet, je suis toute à lui … je suis tout pour lui et il est tout pour moi. Je suis à ma place, comme l’objet de ses désirs et de ses plaisirs et ceux-ci sont les miens.

Il commence à caresser mon clitoris, le plaisir m’envahit encore plus, il jouit en moi et me remplit de son sperme … mais il ne se retire pas pour autant et continue ses massages sur mon clitoris …

Il m’amène au bord du plaisir, je n’en peux plus … je lui demande si j’ai le droit de jouir … seul Mon Maître peut m’autoriser à la jouissance et je n’arrive plus à y arriver sans lui.

Enfin il m’ordonne de jouir et le plaisir m’envahit …

Il se retire et je sens son regard sur moi pendant que je reprends mes esprits et le remercie encore.



Il m’observe là, encore envahit de l’euphorie du plaisir, mes fesses qu’il aime tellement qui dépassent de la voiture, mon dos nu et la jupe de ma robe relevée. Mon intimité dégouline de son foutre … et j’en suis comblée. Il m’aide à me relever et à me rassoir sur mon siège. Nous nous embrassons encore passionnément, nous nous disons à quel point nous nous aimons … Je l’aime à la folie …
Nous nous rhabillons enfin rassasiés l’un de l’autre pour quelques heures et repartons pour l’autre moitié du trajet qu’il nous reste à parcourir avant d’arriver chez moi.

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