Fantasme sur croix de Saint-André
J'ai écris ce récit fictif au bout de quelques mois de relation BDSM avec Mon Maître et en m'adressant à lui.
Nous sommes seuls dans une grande
pièce assez éclairée pour créer une ambiance érotique. Certains endroits de la
pièce sont plus éclairés, comme avec un spot, une auréole de lumière se forme
autour de la croix de saint André et sur des sièges, bancs et poufs çà et là.
Tu m’as fait me préparer avant de rentrer dans la pièce, enlever mes vêtements,
attacher mes cheveux en queue de cheval haute. Je suis nue, pieds nus avec pour
seuls bijoux mes bracelets de menottes aux poignets et chevilles et mon
collier. Tu me tire dans la pièce en marchant car je suis attachée à ma laisse.
« Mets-toi là à genoux petite chienne » tu me fais mettre devant la
croix, dos à elle et pose le sac que tu as emmené et la laisse.
Tu ouvres le sac, en sors des
mousquetons et reprends la laisse pour me faire lever. « Bien petite
chienne, reste bien obéissante et tu seras récompensée ».
Tu me fais reculer jusqu’à sentir
la croix dans mon dos.
« Lève les bras et mets-toi
sur la pointe des pieds, salope »
Je m’exécute, tu accroche les
mousquetons à mes bracelets et au haut de la croix.
« donne ton pied droit », tu le prend délicatement le fais soulever
et le repose sur un petit promontoire en bois de la croix, levant par la même
mon autre jambe. Tu accroche le mousqueton à mon bracelet de cheville et à la
croix puis passe à l’autre pied pour en faire de même.
Mon poids tire un peu sur mes
bras, mais pas trop grâce à mes pieds qui reposent sur les petits promontoires
inclinés qui ne me permettent donc pas d’être totalement à l’aise. C’est
principalement les bracelets et les mousquetons qui me maintiennent à la croix.
Tu recules d’un pas et regardes
ce spectacle qui semble te plaire, je le vois à la bosse sous le tissu de ton
pantalon, sous lequel tu n’as rien mis. Toi aussi tu es pied nu et sans haut,
mais en tant que Maître tu as gardé ton pantalon. Je te regarde avec un peu d’inquiétude
dans le regard, tu t’approches de moi et me caresse d’abord la joue puis
descend doucement sur ma poitrine que tu embrasses, avant de m’embrasser.
« Nous allons faire une
séance spéciale aujourd’hui ma petite pute. C’est la première fois que d’autres
personnes pourrons t’observer pendant nos séances et si nous en avons envie
participer. Pour commencer, je vais m’occuper de l’avant de ton corps, je
vais bien ouvrir ta chatte avec des pinces et savourer la douleur sur ton
visage »
Tu te baisse, sors les pinces et
prend ton temps pour bien accrocher mes grandes et mes petites lèvres de chaque
côté. Tu glisses un doigt en moi. « Hum mais c’est que tu es déjà toute
mouillée salope, goutte cette bonne mouille de pute » Tu me fais sucer ton
doigt, que je suce avec gourmandise comme toujours. Je me concentre pour
supporter la douleur des pinces mais sent que tu n’en as pas fini avec moi,
niveau douleur …
« C’est bien, ça c’est une
bonne suceuse »
Tu te rebaisse et sors les boules
de geisha, tu me fais baisser la tête en tirant sur la laisse pour que je te
regarde dans les yeux quand tu me montre les boules et me parle. « Je vais
te fourrer ça dans la chatte et tu vas bien la serrer pendant toute la séance,
je veux qu'elle soit bien serrée et bien confortable quand je te pilonnerais
après t’avoir tourmentée. Si elles glissent, tu seras punie, si elles tombent …
tu auras plus de pinces pour les tenir en toi »
« Oui, Maître, j’ai bien
compris, je serrerai bien sinon je serai punie »
Tu me glisse les boules et je me
resserre autour, je me délecte du contact de tes doigts malgré la douleur des
pinces. Je sens que tu exulte.
Tu déposes un baiser sur mon bas
ventre, puis retourne à ton sac dont tu sors ton martinet.
C’est la première fois, que je te
vois le manier, tu as une étincelle dans les yeux de lubricité et de sadisme
que j’adore voir chez toi.
Tu manies un peu le fouet dans
les airs pour bien le maîtriser, puis mon supplice commence.
Je me concentre sur ma
respiration pour endurer les coups que tu varie de plus en plus fort puis moins
fort, plus rapides, moins rapides … de temps à autre tu me laisse reprendre mon
souffle en me caressant du martinet.
« Je vais faire chauffer
tout l’avant de ton corps avant de te retourner pour passer à la ceinture, puis
tu seras récompensée ma pute ».
Le temps d’un interlude
j’aperçois dans l’ombre des personnes qui nous observent.
Tu continues ta besogne et je
vois dans ton regard le plaisir qui monte et tes gestes se font plus
frénétiques tandis que tu parcoures mon corps de mes seins à mes tibias.
Lorsque que tu décides que tu en
as fini tu es transpirant, moi à bout de souffle et quelques larmes perlent au
coin de mes yeux. Mon corps est brûlant, tu prends le temps de l’observer tu
essuies avec un regard tendre les larmes sur mes joues.
Puis tu te mets à genoux devant
moi, le visage face à mon giron. « Tu peux desserrer petite chienne, c’est
bien ça n’a pas glissé », tu retires les boules de geisha et me retire un
râle de plaisir. Puis doucement tu retires
les pinces qui m’arrachent des cris et des larmes, je sais que tu te délectes
du spectacle en le faisant. Tu masse un peu mes lèvres pour faire circuler le
sang.
Tu te relèves, me détacheset me
prend dans tes bras. Je te dis à quel point je t’aime et tu me félicites.
« Est-ce que tu es prête
pour la suite ? »
Je respire un grand coup avant de
te répondre : « Oui, Mon Maître »
Tu m’embrasse longuement avec et
sans la langue, puis me relâche et me guide face à la croix.
« Penche-toi d’abord,
salope, montre bien ton cul à tout le monde. » Je m’exécute, je ne sais pas s’il y a du monde ou pas dans la pièce, mon cœur bas fort, je sens tes
doigts titiller ma rondelle. « Hum, comme toujours ton cul s’ouvre vite
putain, je vais le combler alors » Je te sens te pencher et après quelques
instants je sens la pointe froide et glissante du plug qui rentre dans mon cul.
« Très joli comme ça n’est-ce
pas ? » demande-tu à la cantonade
Je tends l’oreille pour savoir si
tu vas avoir une ou des réponses.
« Très beau cul je confirme,
vous avez bien de la chance » répond une voix masculine. J’entends d’autre
oui, et effectivement de quelques voix masculines et féminines.
« Dis merci petite chienne,
sois polie »
Je réponds merci toujours penchée
en avant, offerte, le rouge aux joues.
Tu me donnes une petite tape sur
la fesse, « bien, relève-toi ! »
Je me redresse et lève
naturellement les bras, et me laisse attacher. J’attends ton signal pour
soulever un pied, tu attaches ma première cheville puis la seconde.
Je suis soulagé de ne plus avoir
les pinces mais je sais que je vais prendre cher encore.
« Je vais mettre 10 coups de
ceinture sur tes omoplates, 10 dans le bas de ton dos, 10 sur chaque fesse et 5
sur chaque cuisse. Puis je te détacherais et je m’occuperai de toi »
« Oui, Maître »
« Bien, ma pute, tu vas
compter chaque coup et je te dirais quand je change de zone pour que tu
reprennes le compte à 0. Tu as bien compris ? »
« Oui, Maître »
Les coups pleuvent, je compte,
entre chaque cri de douleur mais pourtant je sens que je suis trempée.
Enfin, arrive les coups sur mes
cuisses, je les compte jusqu’à arriver à la délivrance.
Quelques larmes roulent sur mes
joues mais j’ai un sourire sur les lèvres lorsque tu viens m’embrasser à pleine
bouche.
« Tu as été parfaite ma
petite soumise, je suis très fière de toi ».
Tu me détache et me prend dans
tes bras le temps que je reprenne mes esprits. Je t’entends dire à nos
spectateurs de ne pas s’éloigner car ce n’est pas encore fini et que ceux qui
le veulent pourront participer sans toucher.
Tu me tire doucement par la
laisse, me faisant marcher à 4 pattes jusqu’au pouf rond non loin de la croix.
« Aller monte petite chienne
et mets bien ton cul en l’air que tout le monde puisse l’admirer »
Tu caresse doucement mes fesses
sensibles, elles sont très sensibles « mmmmh elles sont parfaites ses
fesses »
Tu joins mes poignets dans mon
dos, je me retrouve le visage contre le Skye frais du pouf, tu attaches mes
poignets. Quelques hommes s’approchent ils se branlent en me regardant … Je me
sens mouiller encore plus.
« Tu aimes qu’on se branle
sur toi cochonne hein » après avoir dit ça tu me crache au visage, j’en
gémis puis tu prends sauvagement ma bouche. Je sens des hommes se rapprocher,
« on ne touche pas messieurs mais crachez votre sperme sur elle, elle aime
ça cette salope. N’est-ce pas ma pute tu veux être couverte de
sperme ? » Tu sors ton sexe plein de bave de ma bouche pour me
laisser répondre : « Oh oui ! S’il vous plaît couvrez moi de
sperme ».
Tu reprends ma bouche avec la
même ardeur, tu ravage le fond de ma gorge. Je sens déjà des jets de sperme
couler sur mes cuisses et mes fesses …. J’en gémis de plus belle tout en te
suçant.
Tu ressors de ma bouche,
« je vais te posséder par tous les orifices avant de t’offrir enfin mon
sperme ma putain. Ne bouge pas. »
Tu me contourne, des hommes
viennent plus prêts de mon visage en se branlant, naturellement j’entrouvre la
bouche. Tu détache mes poignets et me retourne sur le dos violemment, puis
directement écarte mes cuisses. Tu glisses rapidement un doigt puis y joint un
deuxième et rapidement un troisième, tu me baise avec tes doigts et des jets de
sperme commence à couvrir mes joues, mes seins et mon ventre. Je gémis sous tes
assauts, rapidement tu ressors tes doigts et les mets dans ma bouche et en
faisant ça tu glisses ta queue en moi. Tu retires tes doigts de ma bouche pour
me laisser crier sous tes coups. Tu maintiens mes jambes jointes contre ton
torse et me pilonne.
« Oui cris comme une bonne
salope, tu aimes te faire démonter » Je gémis « aller dis le sale
pute »
« Oui Maître j’aime me faire
démonter ! »
Deux nouveaux jets de sperme
m’arrivent dessus, je ne distingue plus que des sexes par brides et des mains
qui les agitent et ton sexe en moi qui me pilonne. Je ne suis que sensation et
excitation, je suis hors d’haleine.
Tu te retires, me prend par les
cheveux et après avoir nettoyer ma bouche de ta main tu me roule une pelle
monumentale qui me fait gémir.
« Remets-toi en position de
chienne, ma petite salope que je te remplisse le cul et que je te
récompense »
Je ne me fais pas prier, il ne
reste plus que quelques spectateurs encore en train de se toucher dont des
femmes.
Enfin tu retires le Rosebud, tu recouvres
ton sexe de lubrifiant et crache sur mon petit trou. Je gémis encore, et là tu glisses
d’un grand coup de rein ta queue en moi. J’en hurle de surprise et plaisir.
« Redresse toi salope, offre-moi
bien ton cul » Je me redresse un peu sur les coudes, la tête appuyée sur
le pouf et mets bien mon cul en l’air.
Tes doigts viennent titiller mon
clitoris qui ne demande que ça depuis de longues minutes.
Tu fais de long va et viens
sortant presque ton sexe et le ré rentrant.
Mon plaisir monte rapidement, je
suis au bord de l’orgasme, « puis-je jouir s’il te plaît
Maître ? »
Tu me réponds avec un sourire
dans la voix « oui ma pute jouies couverte de sperme pendant que je te
remplis le cul du mien »
Tu reprends tes massages sur mon
clito tout en me défonçant à grand coup de rein le cul.
L’orgasme me prend, j’en suis
totalement envahit et je sens que tu te libère aussi.
Je fini couchée sur le grand
pouf, toi, sur moi, tout 2 recouverts de fluides.
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